Les Secoya se livrent tels quels dénués de tout artifice.
Ces portraits frappent par l'intensité des regards et traduisent une réelle complicité avec le photographe construit au fil des nombreux mois passés ensemble.
Hommes, femmes et enfants se peignent quotidiennement le visage, parfois tout le corps, avec des traits rouges à l’aide d’un fruit, le roucou, et avec des lignes noires grâce à une plante appelée génipa.
Ils portent des couronnes et des bijoux créés à partir de graines, d’os, de poils, de dents ou d’écailles, le tout amarré à l’aide de coton, de fibres et de résine.
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